Après avoir passé une dizaine de jours en France, me voilà de retour. Je m’étais à peine habitué au décalage horaire là-bas que je dois recommencer à zéro. Malgré la fatigue accumulée, j’avais les yeux grands ouverts à 4 h du matin. Joie.

On va voir si la fin de semaine sera suffisante pour me remettre l’horloge interne à l’heure.

En fin de compte, je n’ai pas écrit dans les cafés de Paris. Car Paris est une ville magnifique, je ne lui enlève rien, mais c’est aussi une ville bruyante et achalandée. Pour rédiger des histoires, j’ai besoin de tranquillité, et ce n’est pas entouré de sirènes d’ambulances, de piétons qui se bousculent, de serveurs qui crient que j’aurais réussi à faire avancer mon histoire. Je suis plus du genre « chalet isolé au fond du bois ».

Sans compter que les expressos se boivent en trois gorgées. J’aime faire durer le plaisir. Là-bas, les restaurants servent assez rarement du café filtre (et quand on ose en demander, on se fait regarder avec des yeux de poisson).

Je rappelle que vous pouvez lire les détails du voyage sur le blogue à Mireille.

De retour au Québec
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