tiTexte.net sort du placard

titexte_logo1.jpgAprès des heures de travail, j’ai une première version « fonctionnelle » de tiTexte.net qui est disponible. Allez sur le site, amusez-vous et trouvez LE bogue qui fera tout sauter!

Farces à part, j’invite les écrivains et aspirant-écrivains qui lisent ce blogue à s’inscrire et à me suggérer toutes les corrections et améliorations qui leurs passent par la tête. Et si le coeur vous en dit, essayez donc de publier un texte!

Notez ces ajouts qui sont déjà prévus pour le site :

  • Des fils RSS pour à peu près tout;
  • Une option pour recevoir des courriels automatisés quand on reçoit un commentaire sur nos texte;
  • Toutes les catégories manquantes, et la possibilité de changer la catégorie de son texte;
  • Plus d’informations personnelles dans le profil (un site web, entre autres);
  • D’autres z’affaires.

Si vous trouvez le concept intéressant, n’hésitez pas à en parler sur vos listes de discussions, à le crier sur le toit de votre bloc ou à pirater TVA pour annoncer la fin du monde en direct.

P.S. : Tantôt, j’ai touché à mon vieux four et j’ai POGNÉ LE COURANT! J’y ai retouché et j’ai encore REPOGNÉ LE COURANT! Sti de vieux four…

En sevrage dans l’entre-deux

Ça fait maintenant plus d’un mois que je n’ai pas touché à mon clavier pour écrire dans mon livre et… je l’avoue, ça fait du bien! Pas que je déteste l’écriture, mais des fois – et comme je le mentionnais dans un autre billet – on a besoin de repos. Si tout va bien, je reprendrai le travail en mars.

D’ici là, je vais quand même retravailler une de mes nouvelles a été acceptée dans Brins d’Éternité. Ce sera ma toute première publication pour cette revue.

Sinon… quoi d’autre? Mon projet Web ultra-secret avance encore. J’en reparlerai bientôt sur ce blog, quand le tout sera mis en ligne!

Premiers commentaires

Je viens de recevoir les premiers commentaires d’un de mes lecteurs pour Alégracia et le Dernier Assaut. Un premier rapport très satisfaisant! Pas dans le sens où on me dit que le roman est parfait (car, non, ce n’est pas (encore) le cas), mais plutôt dans le sens où on identifie clairement les manques à gagner au niveau de l’histoire.

Déjà, je pense à ajouter deux chapitres pour compléter certaines intrigues. Tout le contraire de Stephen King et son fameux 10% de suppression. Personnellement, j’ai tendance à écrire des histoires abrégées et à me rendre compte qu’elles sont incomplètes en recevant mes premiers rapports de lecture. C’est ce qui est arrivé avec Alégracia et les Xayiris. Au départ, le roman avait 500 000 signes (la même chose que le tome 1) et, après révision finale, le roman en comptait 650 000.

Je ne dis pas que la même chose se reproduira! Seulement, mon livre de 450 000 signes devrait gagner les 50 000 caractères qu’il lui manque.

Refonte d’un logo

Ça fait déjà un moment que Tommy et moi voulions retravailler le logo d’Alégracia, que j’ai conçu aux alentours de 2003 (en fait, avant 2004, je reculais la date de mon ordinateur pour que mes sharewares fonctionnent, et donc toutes mes données de création de fichier sont corrompues).

Le premier, qu’on connait tous, ressemble à ceci :

Vieux logo d'Alégracia

On reconnaît assez bien la police Monotype Corsiva, qui est livrée avec Windows. La typographie est grossie artificiellement, ce qui la rend assez inélégante malgré les fioritures sur les lettres. De plus, la lisibilité n’est pas optimale : j’ai toujours eu de la misère à lire le titre sur les tranches de mes livres.

Autre détail peut-être insignifiant : il n’y a pas d’or au Continent-Coloré (qui, soit dit en passant, est le lieu où vit Alégracia). Par conséquent, aucune raison ne justifie le choix de la couleur or, surtout que cette coloration est souvent rattachée au pays voisin.

C’était là un échantillon des nombreuses raisons qui expliquaient pourquoi on voulait du changement.

Après mille-et-un remue-méninges et essais infructueux, Tommy a produit le logo fort intéressant que voici :

Nouveau logo d'Alégracia

La police, déjà plus lisible que la première, est entièrement originale. J’adore également la couleur noire et le fait que la signature soit entourée par une fleur. Ça représente bien l’essence du personnage (je n’en dirai pas plus… spoilers!!). D’ailleurs, les formes titillent notre imagination. Quelqu’un a vu un « baiser allongé » dans la rose. D’autres l’ont interprété comme une dent… ou simplement quelque chose d’épineux. Dans tous les cas, ça cadre avec l’histoire.

Et si vous placez une règle devant votre écran, vous remarquerez que les lettres ne sont pas alignées sur une ligne droite, mais bien sur une courbe en forme de vague. Un effet subtil, encore représentatif du personnage.

Nouveau logo sur papier

Donc, je suis très satisfait du travail de Tommy. La seule chose qui est triste, c’est qu’il serait probablement très malhabile, côté marketing, de changer la signature d’un livre au dernier tome de la série. Les lecteurs pourraient s’y perdre. Déjà que la séparation d’Alégracia et les Xayiris en deux volumes a fourvoyé une partie des libraires québécois…

Et vous, qu’en pensez-vous? Devrions-nous utiliser la nouvelle signature ou garder la vieille?

Fin d’une étape, début d’une autre

Voilà. Une nouvelle étape dans la réalisation d’Alégracia et le Dernier Assaut vient d’être franchie : j’ai terminé ma troisième révision. La quatrième commence donc.

Comme cette correction se fera sur papier, je dois d’abord imprimer les tapuscrits qui seront distribués à mon comité de lecture. J’ai commencé hier, mais puisque le document contient environ 300 pages, c’est très long. J’ai essayé pour la première fois les cartouches que j’avais commandées chez ExcelToner et… mon dieu! C’est compliqué à installer! (bon, pas tant que ça, mais il faut quand même enlever les puces sur les vieilles cartouches et les insérer dans les neuves pour que ça fonctionne.) Et de plus, après 100 pages imprimées, l’encre a commencé à « chier » partout sur la page. Pour régler le problème, je dois imprimer à qualité élevée, ce qui quadruple le temps requis pour produire un seul tapuscrit. Ouf…

Je vous déconseille donc les cartouches Canon achetées chez ExcelToner. Et toutes les autres marques, tant qu’à y être.

Drôle de coïncidence : mon éditeur a annoncé aujourd’hui qu’il lorgne le papier recyclé pour ses prochaines publications. Pour ma part, et pour la première fois, j’imprime mes documents sur du papier 100% post-consommation. Nous serons donc épargnés quand les arbres apprendront à marcher pour se venger sur nous.