C’est encore tôt, je sais. La semaine prochaine, ça fera deux mois que le tapuscrit de Caressez-moi est parti accomplir des déhanchements séducteurs dans les maisons d’éditions. Toujours pas de nouvelle, à une exception près, mais la réponse en question
Recensement des lecteurs de Tu verras, clavier
Je consulte souvent les statistiques de visites sur mon blogue, et je suis heureux de constater que plusieurs personnes trouvent leur compte chaque jour sur Tu verras, clavier. Quelques-uns se manifestent dans les commentaires, d’autres préfèrent demeurer silencieux. Aujourd’hui, on
Écrire dans un lieu public
Aujourd’hui, trouvant mon appartement morbidement silencieux, j’ai décidé de sortir pour aller écrire dans un café. C’était la première fois que je m’aventurais à travers le monde pour « créer » du texte. Je dis ça parce qu’il m’arrivait, à l’époque, de
Quand le « vrai » travail reprend le dessus
Cette semaine, j’ai travaillé à temps plein. Une urgence au centre de recherche, on avait besoin de quelqu’un pour travailler sur un projet (ce quelqu’un, c’est moi.) J’ai donc passé l’entièreté de mes journées au bureau et le soir, ayant
Retour sur le Salon du livre de l’Estrie
Le Salon du livre de l’Estrie est terminé depuis hier. Cependant, je me retrouve encore dans une chambre d’hôtel à Sherbrooke, non pas parce que j’ai eu des problèmes de voiture, mais bien parce je donnerai une conférence ce soir
Moins cher la demi-douzaine

Certains se rappellent de la fois où Louis-José Houde a pété sa coche contre l’expression « demi-douzaine ». Y’a un mot pour ça : SIX!!! … qu’il disait. Il n’a pas tort. Sauf qu’en fiction, il arrive où cette petite
