Aujourd’hui, trouvant mon appartement morbidement silencieux, j’ai décidé de sortir pour aller écrire dans un café. C’était la première fois que je m’aventurais à travers le monde pour « créer » du texte. Je dis ça parce qu’il m’arrivait, à l’époque, de
Moins cher la demi-douzaine

Certains se rappellent de la fois où Louis-José Houde a pété sa coche contre l’expression « demi-douzaine ». Y’a un mot pour ça : SIX!!! … qu’il disait. Il n’a pas tort. Sauf qu’en fiction, il arrive où cette petite
Dans les incertitudes de l’entre-deux
Je me retrouve dans une position désagréable. L’entre-deux de romans : le moment où tu as tout soumis ce que tu avais produit et que tu te demandes : « Bon là est-ce que je commence un autre projet ou bien
Une dernière révision et puis go
Je relis Caressez-moi une dernière fois, pour être certain de ne pas avoir laissé de « résidus de correction ». Ensuite, j’enverrai mon tapuscrit aux éditeurs. Je me prépare un document Excel pour faire le suivi de mes soumissions. J’y noterai à
Bébé prématuré
J’ai terminé la première version de Caressez-moi hier. Première version… je pourrais aussi bien dire la « pré-première version », puisqu’il manque encore des gros segments dans l’histoire. C’est bien la première fois que je fais ça : faire imprimer
Ce que je fais en dehors du clavier
Techniquement parlant, ça implique un clavier quand même, mais je l’utilise pour autre chose qu’écrire des histoires. C’est par ici. Et si vous remontez en haut de la page, vous risquez de voir une binette familière.