Le vent souffle, la lumière fluctue.
Ma phobie : sauvegarder mon fichier Word et qu’il y ait une panne de courant exactement au moment où ça écrit sur le disque dur. Résultat, un beau fichier corrompu.
Vite! Des backups…
Quand la poussière retombe
Je viens de me frayer un chemin à travers mon looting du Manoir Richelieu (vous savez, tous les trucs qu’on glisse dans sa valise en quittant l’hôtel : shampoing, savon de douche, savon à main, café, café décaféiné, tisanes, Scope, chocolat chaud, le tout empilé dans une belle montagne digne d’une récole d’Halloween). Bon, OK, j’en ai rapporté beaucoup trop.
Quelques faits saillants du séjour
Mais bon. Je voulais dire un petit mot sur le blogue, puisque ça fait longtemps. Les fêtes sont finies (mais la mienne, par contre, commencera officiellement ce soir à minuit), et je recommence donc une vie normale.
Les corrections d’Alégracia et le Dernier Assaut avancent toujours. J’en suis à…
(ouverture du fichier Word, atteinte du signet de correction, division de la page courante par le nombre total de pages)
… 78,1 % de complété. Ce qui est relativement bien. Je voulais terminer cette étape à la mi-décembre, mais on dirait que ça ira aux trois quarts de janvier. En général, je corrige un chapitre par jour, sur un total de trente.
Mes activités vont demeurer inchangées jusqu’à ce que ce travail soit accompli. Ensuite, je passe le manuscrit à mes lecteurs et j’entreprends mon nouveau projet web ultra-secret!
Meilleurs voeux!
J’interromps ma procrastination post-Noël pour vous souhaiter une année 2008 remplie de bonnes lectures! J’en profite également pour souhaiter, à tous les amis écrivains qui consultent ce blogue, de belles lettres d’acceptation pour leurs manuscrits!
Lâchez pas la patate!
Déluge d’encre
Ma commande passée chez ExcelToner.ca vient d’arriver. Un peu tard, par contre, mais au moins c’est livré directement à la porte de ma résidence par UPS. Les cartouches étaient froides au toucher, mais pas gelées (ouf!). Ç’aurait été toute autre histoire avec Postes Canada. Quelque heures dans la boite aux lettres à -20 degrés Celcius et… BOOM! Le matériel aurait explosé (oui oui, explosé, comme les messages de l’inspecteur gadget).
Il reste à imprimer pour voir si cette encre est d’une qualité acceptable. Je vous reviens là-dessus.
Les cartouches d’encre réusinées sont les amies des écrivains
Je commence déjà à penser à l’impression de mes manuscrits pour mon comité de lecture. L’opération est couteuse (environ 22$ d’encre, 5$ de papier et 5$ de reliure), surtout que j’assemble environ 4 ou 5 documents à cette étape. La facture s’élèvera donc au-dessus de 100$.
Auparavant, j’achetais des cartouches réusinées chez Bureau en gros (de marque Ko-rec-type si ma mémoire est bonne), mais les magasins ont dû retirer ces articiles suite aux pressions des compagnies d’imprimante (Canon, Epson et cie.), qui n’appréciaient pas de perdre leur monopole. J’ai toutefois découvert un site canadien où l’on peut se procurer des cartouches à rabais : ExcelToner.ca
Si je profitais de leurs prix, le cout pour remplir le noir de mon imprimante passerait de 22$ à 6,50$. Intéressant! Mais est-ce fiable? Le site est particulièrement laid.
J’ai tout de même essayé d’en acheter par carte de crédit. Si je reçois ma commande, ou si je me fait frauder, vous serez les premiers à le savoir.
Parfois ça bloque, mais d’autres fois…
Pardonnez mon récent mutisme, mais ces temps-ci, mes corrections avancent beaucoup! Vraiment beaucoup!
Pour les explications de cette interruption momentanée, voir le sous-titre de ce blogue.
En passant, je donnerai bientôt une entrevue pour Les lettres d’ici (en podcast, même, si ma mémoire est bonne). Excitant non?