Et c’est parti!

Voilà! Alégracia et le Dernier Assaut est parti vers l’éditeur en version électronique. Une bonne chose pour les arbres, quoique j’ai pris l’habitude, depuis cette année, d’imprimer mes tapuscrits sur du papier recyclé. Pour 1$ de plus pour le paquet de 500 feuilles, ça donne la conscience tranquille.

Qu’est-ce qui se passera ensuite, pour moi?

Non, je me prendrai pas ma retraite. Je me laisse quand même une ou deux semaines de vacances pour me reposer les neurones. Je le mérite, je pense.

Après cette interruption, je renouerai avec mes bonnes vieilles habitudes de multi-tasking en travaillant sur trois projets en même temps.

D’abord, je veux réaliser la page couverture d’Alégracia et le Dernier Assaut.

Quand j’aurai mal au poignet à force de dessiner, je commencerai à réfléchir à l’histoire d’Alégracia tome 1.5

Et finalement, je veux ressusciter un vieux projet universitaire que j’avais abandonné.

Je donnerai plus de détails sur ces trois trucs d’ici quelques jours.

10 000, c’est une excellente journée

J’écris ce billet avec un foulard autour du cou. Non, je n’ai pas froid, non, je ne suis pas devenu un poète maudit. J’ai juste un mau(ta)dit torticolis qui veut pas s’en aller.

Mes trois premiers jours de réécriture se sont déroulés à merveille. Je suis assez fier de ma performance, et puisque je note quotidiennement mon évolution (en nombre de signes) sur la page couverture d’un vieux travail universitaire, je peux calculer ma productivité de façon précise :

1er jour de réécriture : 4000 signes
2e jour de réécriture : 8000 signes
3e jour de réécriture (aujourd’hui) : 10 000 signes

Évolution d'Alégracia et le Dernier Assaut

Le papier qui témoigne que, des fois, j’écris

Et là, vous vous dites : « Wow! Demain, ça va être l’enfer! ». Eh bien non. Demain, je travaille (comme dans, genre, une vraie job).

Le chapitre XXVIII est donc terminé, il ne reste que les corrections et le peaufinage. Je me suis retenu pour ne pas étirer inutilement ce passage. Je me souviens que, durant la même étape, Alégracia et les Xayiris est passé de 500 000 signes à 650 000. Je vais me calmer les nerfs.

Il me reste aussi le prologue à rafistoler, quelques détails à arranger, et hop! Le tapuscrit partira vers l’éditeur.

Ouais.

J’ai hâte qu’il s’en aille, ce roman-là. Ça fait 3 ans qu’il traine.

XXVIII en chantier

Aujourd’hui, j’ai commencé à écrire le chapitre XXVIII d’Alégracia et le Dernier Assaut. Ma performance : 4000 signes. Pas si mal, pour un écrivain rouillé. Je n’avais pas touché au roman depuis le 11 janvier 2008 et, encore là, c’était seulement de la révision. Ma dernière séance de « création » remonte à novembre.

Je m’ennuyais. Ça fait du bien de retomber là-dedans.