Commander des articles imprimés sur Vistaprint.ca

En rendant visite à Audrey, qui était en séance de signatures au Renaud-Bray de Laurier Québec, j’ai remarqué qu’elle avait présentait des cartons promotionnels aux passants. Sur ces derniers, ont voyait la couverture de son livre, un petit texte accrocheur et l’adresse de son blogue. Quelle bonne idée!

Elle m’a dit qu’elle a fait imprimer ces articles sur Vistaprint.ca.

Curieux, j’ai visité le site pour évaluer les services offerts. J’avais justement besoin de me faire imprimer des cartes professionnelles.

Sur Vistaprint.ca, on me présentait un éventail de cartes avec des design préfabriqués. Peu chères, elles étaient néanmoins laides et clichées (veux-je vraiment une image de poignée de main officielle avec un dégradé blanc? ou une face de madame qui reçoit un massage?) Non merci.

De toute façon, j’avais déjà conçu mes designs dans Photoshop et on pouvait téléverser nos propres créations moyennant quelques frais. Le site est merveilleusement bien conçu. N’importe quel idiot pourrait l’utiliser sans problème.

Comme je voulais du recto-verso couleur (je suis capricieux), le prix demeurait élevé. C’est seulement en achetant des quantités astronomiques que le cout par carte devenait raisonnable. J’ai longtemps réfléchi. Devais-je commander sur Vistaprint.ca et risquer de recevoir des cartes mal coupées, mal imprimées et pixélisées? Pourquoi pas? Je déteste faire affaire avec des imprimeurs « humains » et, d’après mon expérience, j’aurais pu avoir les mêmes erreurs avec les professionnels d’ici.

Puis, une idée m’est venue. Et si les coupons fonctionnaient sur Vistaprint.ca?

Je m’explique.

Souvent, en commandant sur Internet, on peut trouver des coupons virtuels qui débloquent des rabais sur un site. J’ai alors tapé « Vistaprint.ca coupons » dans Google, j’ai choisi le premier résultat. On m’offrait alors une dizaine de coupons différents et j’ai activé le premier, où il était écrit : « 30 % to 60 % on whole website ». Et ça a fonctionné! J’ai eu de 50 % à 65 % de rabais sur tout tout tout! Ça baisse une facture en titi.

Donc, en plus des cartes professionnelles, j’en ai profité pour me fabriquer des cartons promotionnels (voir ci-dessous), que je distribuerai au Salon internationnal du livre de Québec. J’ai aussi commandé un stylo personnalisé, un tampon et des autocollants d’adresse à couts dérisoires. En tout, grâce au coupon, j’ai économisé près de 150 $. Malade!

Carton promotionnel d'Alégracia

Le seul hic : l’expédition coute très cher (15 $ pour l’option la plus lente, soit 21 jours.) Si vous désirez recevoir votre matériel pour le prochain salon du livre, il faudra vous y prendre à l’avance. Sinon, vous débourserez un 20 $ supplémentaire pour avoir l’expédition en 7 jours.

Je réécrirai un billet aussitôt que je recevrai ma commande, avec photos à l’appui. Selon vous, vais-je le regretter?

Retour sur le Salon du livre de Trois-Rivières

On est mardi. J’ai eu une journée pour m’en remettre. Ouf!

Je suis un de ces auteurs qui restent sur place 12 heures par jour, et ne s’arrêtent que pour grignoter du fast food. C’est dur sur le système.

J’aurais bien aimé raconter mon périple sur mon iPod, mais malheureusement (ou heureusement) je n’ai pas eu autant de temps morts qu’à Longueuil pour rédiger mes aventures sur la petite machine.

Kiosque au Salon du livre de Trois-Rivières

Nous étions seuls au kiosque. Une première pour les Six Brumes, durant un salon officiel, puisque nous avons l’habitude de partager notre espace avec un autre éditeur. Ça nous a donc laissé de la place pour avoir deux auteurs à la fois. Résultat? Beaucoup de ventes le vendredi! Une journée incroyable! Les jeunes du secondaires partaient souvent avec les 3 titres d’Alégracia à la fois. On a même vendu quelques pré-commandes d’Alégracia et le Dernier Assaut.

Les autres jours ont été normaux. Sauf qu’avec notre performance du vendredi, on s’en tire avec d’excellents résultats. Les chiffres officiels devraient bientôt paraitre sur le site des Six Brumes.

Prochaine étape : le Salon international du livre de Québec!

10 choses indispensables qu’un auteur devrait apporter lors d’un salon du livre

En faisant mes valises ce matin pour le Salon du livre de Trois-Rivières, je me suis souvenu d’une époque où je n’avais aucune expérience et où j’oubliais plein de trucs importants à la maison. Évitez donc de répéter les mêmes erreurs que moi! Si vous êtes responsable d’un kiosque, auteur ou aspirant auteur, pensez à ces choses.

Évidemment, dans plusieurs cas, l’éditeur pourrait vous fournir ces accessoires. Par contre, je vous le dis : ne vous fiez à personne! Vous êtes mieux d’en apporter trop et, de toute façon, ces articles sont légers, pour la plupart.

  1. Un stylo. L’éditeur vous en prêtera un, mais vous aurez la conscience tranquille si vous signez vos livres avec le cadeau que vos grands-parents vous ont donné durant votre premier lancement.
  2. Un fil d’extension. Toujours utile pour recharger votre cellulaire ou votre ordinateur portable. En général, les prises de courant sont situées en haut des panneaux du kiosque, et non au niveau du plancher.
  3. Du ruban adhésif. Les affiches en auront toujours besoin d’un peu plus.
  4. Un vaporisateur pour l’haleine. Ou de la gomme. Ou tout autre article similaire. Ne repoussez pas vos lecteurs parce que vous sentez le poisson pas frais.
  5. Votre montre. Vos lecteurs seront fâchés si vous arrivez en retard.
  6. Des cartes professionnelles. Toujours utile quand vous rencontrez de nouveaux collègues.
  7. Des gouttes lubrifiantes pour les yeux. Ça réveille presque autant qu’un café.
  8. Votre appareil photo numérique. Et le chargeur de batterie qui vient avec. Vous ne voudriez pas oublier tous les beaux souvenirs de ce fameux « 5 à 7 des auteurs ».
    MISE À JOUR 2010 : On s’entend maintenant que les téléphones sans fil ont remplacé la bonne vieille caméra.
  9. Un plan de la ville. Toujours utile pour revenir à pied du restaurant sans aboutir à Iqaluit. Rien de mieux qu’une bonne vieille Google Maps.
  10. Du divertissement. De la musique, des livres, votre console portative… n’importe quoi! Les auteurs n’organisent pas des partys tous les soirs, alors prévoyez quelque chose pour remplir ces veillées monotones dans votre chambre d’hôtel.
    MISE À JOUR 2010 : Faux. Avec l’expérience, j’ai réalisé que, oui, les auteurs organisent quelque chose tous les soirs. C’est qu’ils sont fêtards, ceux-là! En 10e lieu, donc, faites comme Annie Bacon et apportez-vous une bouteille d’eau.

C’est évidemment sans compter le matériel de voyage habituel (déodorant, vêtements propres, etc.) Est-ce que j’oublie quelque chose?

Mes articles imprimés pour le Salon du livre de Trois-Rivières

Pour la première fois depuis que je fréquente des salons du livre, j’ai décidé de préparer des articles promotionnels qui me donneront un coup de pouce.

D’abord, j’ai acheté un support vertical en plastique (11 $ chez Bureau en gros) dans lequel j’ai inséré un papier qui annonce mes heures de présence.

Papiers pour le Salon du livre de Trois-Rivières

Quel est l’utilité de ce bidule? D’abord, évidemment, ça permet d’annoncer mes heures. Mais encore? Cela montre aux visiteurs que, non, je ne suis pas un vendeur mais bien un auteur.

À cause de mon jeune âge, plusieurs personne croient que je suis au kiosque en tant que vendeur uniquement. Un visiteur a déjà refusé de me croire quand je lui expliquais que j’écrivais! (et il a failli vomir en voyant que j’avais écrit non pas un mais DEUX livres)

Donc, je m’attends à ce que les gens croient d’abord la grosse photo. Les sceptiques seront confondus.

Deuxième article :

Cartes professionnelles

Oui! Des cartes professionnelles.

Pourquoi en avoir? D’abord, parce qu’on finit toujours par manquer de signets. Et quoi de plus désagréable que de converser avec un lecteur potentiel et devoir lui écrire « www.alegracia.com » sur un coin de napperon déchiré?

Un salon du livre est un endroit où se promènent des journalistes, des éditeurs, des employeurs et autres agents qui veulent nous contacter plus tard. Ne pas avoir de cartes professionnelles, avouons-le : c’est nul.

Comme je n’avais pas le temps d’aller porter mon fichier chez un imprimeur, je les ai imprimées sur du papier avec micro-perforations (shame on me.) La prochaine fois, j’en aurai des vraies. Promis.

Nouveautés sur Tu verras, clavier

J’ai profité de l’avant-midi pour apporter quelques améliorations à mon blogue.

D’abord, la mise en page a été légèrement remaniée. Si vous désirez voir les nouvelles polices que j’emploie maintenant pour les titres, actualisez votre navigateur. Vous n’en reviendrez pas. Attention : vous risquez de ne plus reconnaitre le site. (fin du sarcasme)

Sinon, j’ai ajouté une option qui est intéressante pour vrai. Si vous commentez un billet, vous pouvez désormais recevoir les nouveaux commentaires sur ce même billet par courriel. Il suffit de cocher une boite spéciale au bas du formulaire. Ça vous évite ainsi de revenir aux trois minutes pour voir si on vous a répondu. Génial, non?

Finalement, remarquez la nouvelle option dans la barre de menu. Oui! Vous pouvez désormais me contacter en privé. Vous pourrez enfin me partager toutes ces choses qui vous ont passé par la tête depuis ces dernières années, mais qui sont trop… embarrassantes pour être exprimées en public.