C’est demain qu’on répète l’activité (maintenant devenue annuelle) lancée par Amélie Dubé et Patrice Cazeault. À l’origine, l’idée était simple : on était tanné de toujours entendre que ça allait donc mal dans le milieu du livre, que les librairies
Le 12 août, j’achète (au moins) un livre québécois
