Salon du livre du SaguenayJ’ai tenu à attendre dimanche matin pour rédiger ce billet. Je voulais avoir les idées claires. Quand j’écris en étant fatigué, j’oublie des détails importants et, même, d’horribles fautes se glissent dans mes textes. Je tiens d’ailleurs à m’excuser auprès de la Langue française pour les jours précédents.

Revenons à nos moutons. Samedi, nous nous sommes réveillées à cinq plutôt qu’à trois, puisque Marki et Marie-Ève nous avaient rejoint la veille. L’espace a été redistribué en conséquence. Résultat : on m’a forcé à dormir avec mon pire ennemi! En plus, avant le coucher, quelqu’un avait augmenté le chauffage de « 1 » ver le niveau « 2 »! J’ignorais qu’il pouvait y avoir une différence de 30 degrés Celsius entre deux grades. Pfiou! Nous étions trempés au réveil. (j’aime chialer)

Comme à l’habitude, nous avons englouti notre déjeuner ensemble puis nous nous sommes précipités au Salon du livre. J’ignore pourquoi. Nous savions pertinemment que l’accès aux kiosques ouvrait à 9h30 et nous sommes arrivés sur les lieux à 8h30. Il nous a donc fallu tuer le temps à grands coups de « douze ».

Une heure avant l'ouverture

La journée a commencé en force. J’ai découvert que les Saguenéens se levaient très tôt pour rencontrer leurs écrivains (quand même… 10h le samedi). Mais tant mieux! J’ai vendu assez de livres pour prendre une avance considérable sur mon rival, et j’ai pu diner avec l’esprit tranquille. ;)

Entre temps, Guillaume et Jonathan sont allés rejoindre Jean Pettigrew et François-Bernier Tremblay (je me trompe?) pour une table ronde à propos de la Revue Clair/Obscur, d’Alibis et de la maison d’édition des Six Brumes.

Table ronde

Puis, un évènement bien spécial s’est produit. Jean Pettigrew s’est glissé à l’intérieur de notre kiosque pour discuter avec les propriétaires des Six Brumes. Leur conversation a duré plus d’une heure et demi! Complotaient-ils contre l’humanité? Étant trop dévoué à mon public, je n’ai pu entendre les détails de cet échange.

Durant l’après-midi, j’ai eu d’agréables surprises. Quatre personnes m’ont appris qu’elles avaient déjà lu le premier tome d’Alégracia à leur bibliothèque. Selon leurs commentaires, elles avaient adoré leur lecture et elles sont repartis avec le tome 2. Ça m’a fait du bien d’apprendre que je j’étais un peu connu dans la région.

À quatre heure, l’affluence commençait à baisser. En bon combattant, j’ai décidé de laisser une chance à M. Reynolds en levant les voiles. Ainsi, je lui laissait la soirée pour me ratrapper. ;)

Après avoir salué les membres des Six Brumes, je me suis dirigé vers ma charmante voiture pour entamer un long voyage de 3h.

Jusqu'où irions-nous pour se faire connaitre?

Voilà ce qui complète le récit de mon épopée au Saguenay. Mais l’aventure automnale ne se termine pas là! Ne manquez pas le prochain rapport concernant le lancement d’Alégracia et les Xayiris vol. II, qui aura lieu le 7 octobre prochain, ainsi que le prochain Salon du livre de l’Estrie. Ce n’est que partie remise!

Dernière journée

4 avis sur « Dernière journée »

  • 30 septembre 2007 à 10:45
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    Ah, j’aurais aimé ça faire ce salon avec vous!!! Çe sera pour l’année prochaine, faut croire!

    Mathieu

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  • 30 septembre 2007 à 12:22
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    Je crois pas… tsé, faut pas oublier que j’ai seulement publié une nouvelle dans Équinoxe… l’an prochain, au moins, y’aura un petit livre avec mon nom dessus….

    As-tu remarqué si les NOVA semblaient vendre un peu? Est-ce que MJL était là?

    M

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  • 30 septembre 2007 à 18:11
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    Il me semble que nous n’avons pas vendu beaucoup de Nova, car nous avons concentré nos énergies sur les Nocturne et les Alégracia. Néanmoins, quand, quand un visiteurs nous disait qu’il aimerait payer peu pour découvrir de nouveaux auteurs (c’est arrivé quelques fois), ils repartaient avec un Nova.

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