Depuis aujourd’hui, le projet Caressez-moi est officiellement renommé Mes pieds dans tes lettres. Ce dernier titre a beaucoup plus de signification par rapport à la nature antilittéraire du livre et – Amy avait raison – ça fait beaucoup moins « Harlequin ».

Le site officiel restera au www.caressez-moi.com jusqu’à nouvel ordre. J’ai pas envie de payer 10 $ et me taper un redesign de site pour rien.

Je les changerai quand un éditeur dira : « oui ».

Changement de nom
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12 avis sur « Changement de nom »

  • 25 mai 2009 à 9:02
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    Le lien vers le site à renommer ne fonctionne pas…

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  • 25 mai 2009 à 9:15
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    Merci pour la remarque! Après vérification, je crois que c’est une erreur interne sur le serveur qui devrait être corrigée dans la journée. Le site marchait très bien ce matin et je n’ai fait aucune modification depuis.

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  • 25 mai 2009 à 9:40
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    J’aime vraiment le nouveau titre. En effet, Caressez-moi pouvait porter à confusion …

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  • 25 mai 2009 à 10:09
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    J’aime beaucoup ton titre.

    Juste un petit commentaire comme ça… je reçois sur mon « feedreader » les commentaires des messages avant les messages eux même… Je me demandais si j’étais la seule à qui ça arrivait.

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  • 25 mai 2009 à 11:59
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    Le tire précédent pouvait en effet prêter à confusion, à tel point que cela semblait intentionnel.
    La polysémie n’est pas interdite en littérature, n’est-ce pas ?
    Cela dit, le nouveau n’est pas mal non plus dans le genre.
    S’agit-il de donner un coup de pied au culte des classiques pour réveiller le lecteur assoupi ?

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  • 25 mai 2009 à 12:03
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    Pas tout à fait. Ou peut-être. Chaque lecteur y verra une signification propre à lui. Mais encore, puisque ce livre est un hommage à l’insignifiance, peut-être qu’il en ressortira avec un grand vide spirituel.

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  • 25 mai 2009 à 12:11
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    Ce n’était pas une critique, bien au contraire.
    > Chaque lecteur y verra une signification propre à lui.
    De toute façon, on n’a pas encore trouvé le moyen d’empêcher le lecteur de ne rien comprendre qu’à sa tête. Il faut s’y résigner.

    > Mais encore, puisque ce livre est un hommage à l’insignifiance, peut-être qu’il en ressortira avec un grand vide spirituel.

    Je me méfie surtout des écrits qui prétendent ne pas être spirituellement vides. Il ne fait pas négliger l’aspect ludique de la lecture et de l’écriture – à mon humble avis.

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  • 25 mai 2009 à 12:18
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    Je ne l’avais pas pris comme une critique ;) C’est vraiment l’objectif du livre. Comme il est construit comme une téléréalité à saveur littéraire, on peut difficilement ignorer l’aspect « insignifiance » de la chose.

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  • 25 mai 2009 à 12:20
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    Et quand j’employais l’expression « antilittéraire », c’est surtout pour montrer, par exemple, qu’un inconditionnel de Proust ou Balzac vomirait à pleine gueule dans ces pages.

    Faudra un éditeur qui comprend ça.

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  • 27 mai 2009 à 20:38
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    Je ne suis inconditionnel de rien, mais amateur respectueux de mes classiques, parmi lesquels Proust et surtout Balzac. Ayant l’estomac fragile, je suis inquiet. Mais je tenterai l’aventure si j’en ai l’occasion.
    Ce n’est pas mal d’être un peu iconoclaste, mais savoir apprécier nos prédécesseurs n’est pas interdit non plus… :-)

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