Drôle de coïncidence. Hier, c’était le premier anniversaire de la date d’abandon de mon projet universitaire (à la fin de mes cours, j’avais carrément fermé le dossier pour OUBLIER l’école). Et c’est hier que j’ai décidé de reprendre le travail là où je l’avais laissé.

Je n’ai pas encore vraiment trouvé de titre pour ce projet. Jusqu’à maintenant, j’ai déjà écrit 50 000 signes et je veux que la version finale en ait 250 000. Ce sera donc un roman court. Un thriller, sans doute. Si je m’y mets à fond, je pourrais l’avoir fini vers le début de l’automne.

Chose que j’ai découvert hier : c’est tellement plus facile d’écrire une histoire pour le monde réel qu’en fantasy! Surtout quand on se permet un peu de québécismes et du langage plus familier. C’est comme si je me libérais d’un millier de contraintes, d’un seul coup. Plus besoin de se casser la tête pour les comparaisons; la culture populaire est une source inépuisable de références. C’est magique. J’adore.

Je vous en reparle aussitôt que je trouve un titre à tout ça.

Bonne fête, projet sans titre
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5 avis sur « Bonne fête, projet sans titre »

  • 3 mai 2008 à 9:46
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    Eh, super ! Ça doit te faire du bien de sortir du monde d’Alégracia un peu!

    C’est vrai que quand on n’a pas besoin de réinventer un univers au complet, c’est plus reposant ;)

    Mais en même temps, d’autres contraintes existent. Par exemple, dans un thriller, l’effet de réel peu demander plus de rigueur qu’en fantasy, parce que, justement, ça se rapporte à des choses qui existent en dehors de la fiction. Par exemple, si tu veux décrire l’uniforme d’un soldat dans un univers de fantasy, tu peux dire un peu pas mal ce que tu veux (la difficulté est alors de rendre ça crédible, mais il y a plusieurs façons de le faire). Dans une histoire qui s’inscrit dans le registre du réel, pour décrire un uniforme de soldat d’un pays donné, il faut se renseigner, parce qu’il n’y a qu’un référent possible…

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