Conseil du jour

Comme je l’ai mentionné dans mon dernier article avant le déménagement du blogue, si vous souhaitez continuer à me lire sur votre Google Reader ou tout autre service qui aime les fils RSS, vous devez vous réabonner au mien. Si vous ne le faites pas, vous ne recevrez plus aucune mise à jour et, éventuellement, vous vous écrierez : « Pourquoi DIEU est-ce toujours le genre de chose qui m’arrive! Que ferai-je maintenant que je ne peux plus lire Bellavance sur le Web? VAIS-JE ÊTRE OBLIGÉ DE ME RABATTRE SUR SES LIVRES??? »

Je vous le redis, pour votre bien : prévenez cette situation gênante et réabonnez-vous.

Déménagement complété!

Le blogue Tu verras, clavier est maintenant arrivé sur son nouvel hébergeur! Cette transition me permettra d’appliquer des modifications qui m’étaient autrefois refusées par WordPress.com. Parmi les nouveautés, on peut déjà voir la petite icône dans la barre d’adresse Web. Wow! Ça valait vraiment toutes mes heures de sacrage pour procéder à ce &*?&*%&? de déménagement…

Ne vous inquiétez pas; d’autres nouvelles arriveront très bientôt!

Sortir des sentiers battus

Des fois, je me demande si c’est une bonne idée de s’éparpiller. Dans les genres, je veux dire. Quelle répercussion cette pratique aura-t-elle sur mes ventes? Vais-je conquérir un nouveau bassin de lecteurs? Ceux qui m’étaient déjà fidèles seront-ils frustrés?

Jusqu’à maintenant, j’ai toujours publié des livres de fantasy qui se déroulent dans l’univers du Continent-Coloré. En publiant mon nouveau projet, les gens vont-ils se dire : « Wow! Il faut que je me procure le dernier Bellavance! J’avais justement envie de lire des histoires avec de la magie et des Kajuvârs. » Ils vont être déçus.

Toutefois, je réalise que, même si mon roman n’est pas du fantasy, on me reconnait à travers les paragraphes, on sent un air familier. Je pense donc que les lecteurs d’Alégracia aimeront mon prochain, et les autres qui vont suivre.

Il en demeure qu’un auteur qui sort des sentiers battus doit accepter des risques. J’ai déjà discuté avec ancien membre du jury au Conseil des Arts et Lettres du Québec pour les subventions en création littéraire. Il m’a raconté que l’un des critères pour donner une bourse serait « la cohérence des publications dans le cheminement de l’auteur. » Cela signifie, entre autres, qu’un écrivain qui soumet un projet qui ne se rapporte pas, ou pas beaucoup, à ses publications antérieures a moins de chances d’être subventionné.

Étonnant, non?

Est-ce que cela signifie qu’une telle pratique s’avère néfaste sur la carrière d’un auteur? Ça reste à voir.

Bonne fête, projet sans titre

Drôle de coïncidence. Hier, c’était le premier anniversaire de la date d’abandon de mon projet universitaire (à la fin de mes cours, j’avais carrément fermé le dossier pour OUBLIER l’école). Et c’est hier que j’ai décidé de reprendre le travail là où je l’avais laissé.

Je n’ai pas encore vraiment trouvé de titre pour ce projet. Jusqu’à maintenant, j’ai déjà écrit 50 000 signes et je veux que la version finale en ait 250 000. Ce sera donc un roman court. Un thriller, sans doute. Si je m’y mets à fond, je pourrais l’avoir fini vers le début de l’automne.

Chose que j’ai découvert hier : c’est tellement plus facile d’écrire une histoire pour le monde réel qu’en fantasy! Surtout quand on se permet un peu de québécismes et du langage plus familier. C’est comme si je me libérais d’un millier de contraintes, d’un seul coup. Plus besoin de se casser la tête pour les comparaisons; la culture populaire est une source inépuisable de références. C’est magique. J’adore.

Je vous en reparle aussitôt que je trouve un titre à tout ça.