Salon du livre de Montréal : vous ne pourrez pas me manquer

Bonjour gang.

Bientôt, ce sera le Salon du livre de Montréal.

Je vous annonce que j’y serai pour une deuxième année. Cette fois, grande innovation : nous serons dans l’immense kiosque de Benjamin, et non dans un couloir obscur que même le concierge bigleux n’ose pas traverser.

Vous ne pourrez pas me manquer, cette fois.

(En cas de difficulté à comprendre la carte, nous serons juste devant vous, à l’entrée. Droit devant. Marchez et vous arriverez. Bref, si vous êtes du genre à chercher la bouteille de ketchup dans le frigo parce qu’elle se trouve directement entre vos yeux et qu’après avoir annoncé votre échec à votre mère, celle-ci prend la bouteille en disant : « Si c’était un ours, il t’aurait sauté dans’face! », eh bien, vous ne me trouverez jamais. Mais faites gaffe; si j’étais un ours, je vous sauterais dans’face.)

Mes heures, pour ceux que ça intéresse :

  • Samedi le 21 novembre : 13 h à 17 h
  • Dimanche le 22 novembre : 9 h à 13 h

Je vous y attendrai armé d’un stylo et d’une bouteille d’eau.

Nouveau projet : j’annule tout de suite

Il y a environ 5 jours, je me suis réveillé en sursaut à 3 heures du matin. Un crabe avait cogné dans ma porte patio (longue histoire) et en me rendormant, j’ai fait un rêve complètement débile qui mettait en vedette Mathieu Fortin et Jonathan Reynolds. Fouillez-moi pourquoi. (Et non, ce n’est pas ce que vous pensez.)

Je me suis levé, j’ai tout noté les détails sur mon iPod pour ne rien oublier.

Faut que je fasse un livre avec ça. Obligé.

J’ai déjà commencé à faire le plan. Le projet ne serait pas trop long : entre 20 000 et 25 000 mots. Quelques-uns d’entre vous savent ce que ça signifie. Et… surprise! C’est de la science-fiction. Élisabeth Vonarburg serait heureuse d’entendre ça.

Sauf que là, j’ai déjà deux livres à finir, moi.

Disciplinons-nous.

J’ai créé le dossier du nouveau projet ainsi que tous les fichiers préparatoires, vierges. J’y reviendrai dans quelques mois.

Mais je vais y revenir. C’est certain.

D’ailleurs, j’ignore si Mathieu et Jonathan voudront y figurer jusqu’à la version définitive. Faudrait que je leur demande!

Je note la date d’aujourd’hui : 3 novembre 2009…

… car c’est aujourd’hui que j’ai reçu le courriel le plus bizarre et le plus inattendu de toute mon existence. Pas dans le bon sens, malheureusement.

Mais à bien y penser, la situation est aussi très drôle. Grave, loufoque. Quasi incroyable.

Bref, si je vous croise dans la rue ou dans un salon, demandez-moi de vous parler du courriel que j’ai reçu le 3 novembre 2009. Vous serez en mesure de juger par vous-mêmes.

Révélation de la semaine

Dans mon manuscrit papier, il arrive souvent que je marque des phrases comme ceci :

Une phrase correcte. [Une phrase qui sonne un peu moins bien.] R

La marque « [ ] R » signifie seulement que je veux reformuler cette phrase, parce que ça accrochait quand je la lisais. Question de rythmique.

Eh bien, j’ai réalisé que 90 % du temps, je perdais mon temps à vouloir améliorer ce maudit passage qui sonne croche. En général, quand je marque une phrase avec « [ ] R », la meilleure solution est souvent de la supprimer et de ne plus en parler. Jamais. Goudebâille.

Faut bien l’économiser, ce précieux temps.

Quessé que j’fais icitte?

AVERTISSEMENT : comme ce blogue se veut pour tous, les sacres seront remplacés par des noms d’émission pour enfant des années 80.


« Quessé que j’fais icitte? »

 

C’est la question qui m’est revenue en tête, trois fois, en peu de temps.

« Quessé que j’fais icitte? »

Vendredi dernier, au Salon du livre de l’Estrie, la journée où il y aurait normalement eu des visites d’écoles secondaires, il n’y a rien eu. Rien. Quelques visiteurs tout au plus. Tournage de pouces. Emmerdement. Pendant des heures.

La question m’a tournée en tête une bonne partie de la journée.

« Quessé que j’fais icitte? »

Hier, toujours au même salon, quand j’ai manqué de copies d’Alégracia et le Serpent d’Argent. Difficile, pour un lecteur, de commencer une série par le deuxième tome.

« Quessé que j’fais icitte? »

Aujourd’hui, à l’université, pendant un de mes cours à pelleter – encore – des nuages, pendant qu’une demi-douzaine de bonnes histoires attendent juste d’être écrites. J’étais pas beau à voir; j’avais une face de cadavre, la face du gars qui en a marre et qui veut sacrer son camp en courant. Tout ça au profit d’un manuscrit plein de ratures. Et dire que j’ai appris à l’aimer, lui.

Maudit pouliche de calinours de potatou de niaisage à cosmocats.

P.-S. : Ceci est un exutoire. Ma bonne humeur reviendra demain.

Salon du livre de l’Estrie 2009

À peine débarqué du Saguenay, je me prépare déjà pour le Salon du livre de l’Estrie. Ça risque d’être un très bon salon, comme c’est une région que je visite depuis 2005 et que les Six Brumes sont bien connus là-bas. Ça sera donc mon 5e anniversaire de tournée littéraire!

Saviez-vous qu’à l’époque, le salon se déroulait à l’intérieur de l’Université de Sherbrooke (et qu’il était de trèstrèstrèstrès petite envergure? Du genre qu’on faisait le tour en 2 minutes?) Souvenirs et nostalgie…

Cela dit, je serai au kiosque 509 aux heures suivantes :

  • Jeudi 14h à 17h, 18h à 21h
  • Vendredi 9h à 12h, 13h à 17h et 18h à 21h
  • Samedi 9h à 12h, 13h à 17 h et 18h à 21h
  • Dimanche 10h à 12h et 13h à 17h

Veuillez ne pas vous fier à ce qu’on retrouve dans le catalogue officiel du salon. Selon ce dernier, je suis un immortel qui n’a pas besoin de manger.

Pour les détails concernant le concours Les élus des Xayiris, ça se passe dans la section évènement d’Alégracia.com.

Espérons que, cette année, il y aura du stationnement pour les visiteurs…