En lisant Un ange cornu avec des ailes de tôle de Michel Tremblay où, dans le dernier chapitre, Tremblay raconte l’histoire de sa première publication, ça m’a rappelé ma propre expérience. Celle où j’ai décidé de faire publier Alégracia et le Serpent d’Argent.

Je me souviens d’avoir donné mon manuscrit aux Six Brumes durant un évènement littéraire : le lancement du recueil Équinoxe, en fait, qui s’est déroulé au Pavillon Desjardins de l’Université Laval en avril 2004. Si ma mémoire est bonne, je leur avais donné mon manuscrit en main propre à l’heure du vin, pratique que j’ai farouchement condamnéeà plusieurs reprises, et que je trouverais totalement inappropriée si je voyais aujourd’hui un jeunot se pointer à mon lancement avec sa brique de papier entre les mains.

Bref, faites ce que je dis, pas ce que je fais.

Le premier manuscrit d’Alégracia

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